Biographie de l'artiste peintre Sylvie Adaoust |
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Sylvie Adaoust est née à Toulon dans les années 60 Essayiste à la gouache avant ses 15 ans elle s’inspire déjà des grands maîtres. Elle devient brièvement l’élève de Baboulène à l’école des beaux arts de Toulon après une scolarité classique. Le maître lui dira qu’elle n’est pas faite pour s’initier aux techniques artistiques dans cette enceinte. Les voies scolaires ne sont pas sa tasse de thé et elle connaît déjà les techniques que ses professeurs enseignent. Elle suivra son conseil et fera son apprentissage par des voies plus personnelles. Elle ne peint plus sur une toile pendant 17 ans pour des raisons aussi diverses que personnelles Dont je vous parlerai en privé. Toujours dans la prospective de sincérité et de bonheur, elle peint en professionnelle depuis 2002 et se retrouve cotée d’office fin 2003. Chacune de ses oeuvres exprime le reflet de son sens de l’esthétisme et de son concept de vie au quotidien pour tutoyer au mieux la quête du bonheur. |
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Ses originaux sont le fruit d’œuvres sans cesse renouvelées au paroxysme de son art. La mixité des idées, des points de vue de chacun, stimulent et développent sa touche artistique. Ce n’est pas dans le souci de soi-même, mais dans celui de l’autre, que sa sensibilité pourrai s’avoisiner avec Gauguin, dans le cas ou elle aime la femme dans tous ses états. Ces courbes généreuses qui deviennent raffinées, par l’ajout de feuilles d’Or et de matière autre que picturale qui déterminent une finition aiguë et affinée des courbes réelles et imaginaires de la femme de la renaissance à celle du 21ème siècle. Par la femme enceinte de la période bleu de Picasso, en passant par la vierge de Leonardo da Vinci, pour finir par la naissance de la Venus de Botticelli ; Elle nous montre l’intégralité de sa création, qui n’est ni plus ni moins qu’une ode à la grâce. A la féminité de l’être qui atteint la quintessence des courbes de la maternité, pour la nativité future ! En un mot comme en mille, Adaoust dans sa représentation tant champêtre que florale de la femme sous toutes ses formes n’a pour plaisir des yeux que la grâce palpable et tactile de la quintessence de l’éternel féminin, d’ou la plus belle création sur terre et dans les cieux : la femme ! La femme, cette muse à l’origine de toutes créativité de part sa grâce, ses délires, sa beauté, ses délicats parfums font que seule Adaoust a pu coucher sur la toile l’expression visuel et tactile des cinq sens que l’être humain possède. Le féminin à son paroxysme drapée par la grâce d’une simple toile de lin. L’intégralité de son œuvre n’est ni plus ni moins que force et technique dans l’accomplissement du ballet dans l’arène, Par la grâce de la déambulation féminine aux folies bergères et de la blondeur d’un champ de blé parsemé ça et là de coquelicots narguant le crépuscule terrestre. Le rêve ne demande qu’à prendre vie, peu à peu, par la divulgation et la transmission chez vous et moi, des œuvres qui sont la représentation de nos idoles ; Nos mères, Nos filles, nos femmes, nos sœurs, mais surtout et avant tout, la femme.
Sébastien Jacqueline Adaoust |